Une rencontre autour d’un café, un cercle, un échange, un partage entre des êtres concernés et sensibles aux « échos de la Terre qui pleure ».
Le temps est glacial et le ciel bleu. Nous nous retrouvons ce samedi matin, en toute informalité autour de tisanes et de cafés pour parler de notre être au monde. Des personnes qui n’ont pour point commun que leur lieu de vie ont répondu présent à cette proposition lancée par Anaïs et moi.
Le but ? Échanger autour du sujet qui nous motive toutes les deux à mettre en place nos ateliers, à travailler si dur depuis des années pour comprendre, avec nos sensibilités respectives, ce qui se passe dans la tête, ou plutôt dans le cœur, des Hommes de cette belle planète qui est la nôtre en ces temps si propices à l’introspection.
Nous sommes une petite dizaine à partager là où l’on en est, notre parcours, notre questionnement, nos aspirations, nos incompréhensions, nos blessures et nos peurs aussi. Magie de ce thème craint par beaucoup, nous rentrons tout de suite dans le vif du sujet. Très courte entrée en matière et l’on plonge immédiatement dans le grand bain, en eaux troubles et profondes. Pas de blabla, un échange cœur à cœur ; beau, sincère, humain.
Le monde a besoin de tels moments. Ils nourrissent, aident à grandir, relient.
Lors de ces instants, je me sens à ma place. Gratitude profonde.
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