Il vient de souffler sa première bougie, ça se fête, non ?
Que de choses se sont passées en 1 an !
Des salons, des dédicaces, des rencontres, des articles : la vie d’un auteur auto-édité n’est pas de tout repos, c’est le moins que je puisse dire. Il y a du pour et du contre. De formidables libertés et de charmantes frustrations. C’est un chemin néanmoins fichtrement intéressant mais qui demande beaucoup de flexibilité, d’adaptabilité, d’appétence pour l’innovation et l’imagination – mais bon, ça je pratique depuis toujours ! Apprendre, toujours être désireux d’apprendre, c’est la clé. Le tout en ne lâchant pas mes valeurs, le ‘pourquoi’ de l’existence de ce roman, la finalité de l’initiative.
Donc aujourd’hui, un an après son lancement marqué par le sceau des limitations covidesques, le Dino est toujours là. Comme un enfant, je peux dire qu’il m’aide à grandir tous les jours. À puiser au fond de moi pour extraire l’essence de qui je suis, de ce que je désire : et maintenant ? Où est la place de ce roman ? A-t-il rencontré son public ? Comment l’aider davantage ? ça va bien au-delà de mon amour pour l’écriture et les mots tout ça.
Mais le temps joue avec moi, avec nous. Il me permet de polir mon engagement, ma façon d’être au monde. J’ai envie de mots, ils viendront bientôt sous une autre forme qu’un roman… Un petit frère ou une petite sœur pour le dino ? La famille #imnodino s’agrandit, mais chut ! Patience !
Allez mon Dino, je te souhaite un bel anniversaire et une épanouissante et inspirante année !
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